• Détails...

     

    Sur les hauteurs de Saint-Nazaire...

     

    Sur les hauteurs de Saint-Nazaire...

     

    Sur les hauteurs de Saint-Nazaire...

     

    Sur les hauteurs de Saint-Nazaire...

     

    Sur les hauteurs de Saint-Nazaire...

     

    Sur les hauteurs de Saint-Nazaire...

     

    Sur les hauteurs de Saint-Nazaire...

     

     

    Photographies © Fabienne Calvayrac -2012

     

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  • La Cité insolite et méconnue...

     

    Dans le ventre de la Cité...... Chez un particulier....

     

    Dans le ventre de la Cité...... Chez un particulier....

     

    Dans le ventre de la Cité...... Chez un particulier....

     

    Dans le ventre de la Cité...... Chez un particulier....

     

    Dans le ventre de la Cité...... Chez un particulier....

     

    Dans le ventre de la Cité...... Chez un particulier....

     

    Photographies © Fabienne Calvayrac 2012

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  • J'ai lu, avec intérêt, votre article bien documenté sur "le souterrain des Allemands" construit pendant la Deuxième Guerre Mondiale à la Cité de Carcassonne.

    Ayant étudié ce sujet, il y a maintenant plusieurs années, je me permets d'ajouter quelques précisions qui ne manqueront pas, je l'espère, de vous intéresser....

    Rien d'ésotérique ou de mystérieux concernant ce souterrain, il fut juste utilisé par les allemands pour s'y terrer en cas d'attaque, et pour stocker de l'armement.

    C'est en 1953, suite à des affaissements à certains endroits, que la municipalité de Carcassonne fut obligée d'entreprendre des travaux importants pour condamner ce souterrain.

     

    Le souterrain des Allemands..... Pour monsieur Martial Andrieu... 

    Photographie © Fabienne Calvayrac 2012

     

    Ces travaux, prévus au programme de 1953 et chargés de réparer les "dommages de guerre", ont été faits sous le contrôle de Henry Nodet, architecte en Chef des Monuments Historiques, et de A. L. Bourely, architecte des Monuments Historiques de l'Aude, en charge du dossier dès le mois de janvier.... 

    Le devis concernant ces travaux, fut établi par Henri Nodet, lui-même ingénieur. Il se montait à 994 936 francs, rien que pour les parties du souterrain situées sur le domaine de la Ville, et dont certaines passaient sous des habitations privées, risquant de les disloquer à force d'affaissement ...Mais le coût final fut nettement plus élevé !

    C'est une entreprise de Toulouse, Etudes et Travaux de Fondations, qui fut chargée de réaliser les injections de sable dans des "puits" (forages) creusés dans le souterrain afin de tout condamner.

    Ce souterrain était creusé à 8 mètres de profondeur...

    Bien sûr, les parties du souterrain passant sur le domaine de l'Etat furent à la charge des Monuments Historiques....

    ... Mais cela fera l'objet d'un autre article, si vous le voulez bien !

    Fabienne Calvayrac

     

    Pour retrouver tous les articles de

    Martial Andrieu sur le patrimoine carcassonnais:

    musiqueetpatrimoine.blogs.lindependant.com

     

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  •  Un après-midi sous le signe de l'archéologie...

    Conférence sur la prison inquisitoriale de Carcassonne.....

     

    Conférence sur la prison inquisitoriale de Carcassonne.....

    Dominique Baudreu et Fabienne Calvayrac - 15 février 2014

    © Charles Peytavie 

     

    Conférence sur la prison inquisitoriale de Carcassonne.....

     

    Conférence sur la prison inquisitoriale de Carcassonne.....

    Photographies © Charles Peytavie - 2014 

     

    Un grand merci à toutes les personnes qui ont assisté à la conférence que Dominique Baudreu et moi-même avons présentée samedi à l'auditorium de Carcassonne, ainsi qu'aux associations qui ont relayé l'info sur leur site comme

    La Société d'Etudes Scientifiques de l'Aude

    organisatrice de la conférence

    (sesa-aude.com)

    l'Association d'Etudes du Catharisme

    (aecnelli.com),

    ou encore 

    les Compagnons de Paratge

    (compagnonsparatge.blogspot.com)

     

    Sans oublier tous les particuliers qui ont également diffusé l'info sur leur propre page Facebook, ou autre...

    Votre participation et vos mails nous ont beaucoup touchés... 

     Alors.... A très bientôt pour la suite !

     

    Dominique Baudreu et Fabienne Calvayrac

    Photo © Dépêche du Midi - 15.02.14

    La Dépêche du Midi - 16.02.14

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  • C'était un étonnant personnage que Louis Lacombe, ce carcassonnais surnommé Cigalet par ses contemporains....

     

    Louis Lacombe, un carcassonnais "dingue" de la Cité !

    Photographie:© Fabienne Calvayrac - 2012

     

    Louis Lacombe est né en 1856, dans l'une des masures qui encombraient alors la barbacane du château comtal.

    Dès son plus jeune âge, il se passionne pour ce monument.

    Adulte, devenu artisan plâtrier, il arpente la Cité, l'observe, l'étudie... Et cet homme, qui de son propre aveu, n'a jamais appris à travailler le bois, se lance alors dans un projet fou: réaliser une maquette en noyer du monument, à l'échelle 1/100 ème, en tenant compte de tous les détails avec une précision d'orfèvre.

     

    Louis Lacombe, un carcassonnais "dingue" de la Cité !

    La porte Narbonnaise

    Photographie: © Fabienne Calvayrac - 2012

     

    Louis Lacombe, un carcassonnais "dingue" de la Cité !

     

    Le théâtre et la Basilique Saint-Nazaire et Saint-Celse

    Photographie: © Fabienne Calvayrac - 2012

     

    Il aborde un jour l'archiviste et historien Joseph Poux, qu'il rencontre dans la Cité, et tente, en vain, de l'intéresser à son travail.

    En effet, Poux, ne réalisant pas réellement le type de maquette que peut construire Cigalet, il ne prête pas une grande attention aux propos de l'artisan. 

    Ce n'est que quelques mois plus tard, en 1913, que le conservateur du château comtal, Pierre Embry, qui a vu la réalisation de Louis Lacombe, convainc son ami Joseph Poux de faire le déplacement jusques chez l'artisan.

    Louis Lacombe travaille sur cette maquette depuis déjà 32 ans lorsqu'il rencontre Joseph Poux et Pierre Embry, chez lui, au 138 de la rue Trivalle. A cette date, l'ouvrage est aux 3/4 terminé, disposé sur des tréteaux et des planches qui respectent le relief de la butte de la Cité.

    Et Lacombe d'expliquer aux deux hommes ébahis qu'à elle seule, la Basilique Saint-Nazaire et Saint-Celse lui a demandé 50 mois de travail....

     

    Louis Lacombe, un carcassonnais "dingue" de la Cité !

    La Basilique Saint-Nazaire et Saint-Celse

    Photographie: © Fabienne Calvayrac - 2012

     

    Il ajoute qu'il prolonge ses périodes de chômage pour être sûr de terminer son oeuvre, ce qui lui prendra encore, selon lui, au moins 3 ou 4 ans. Il leur fait part, également, de son inquiétude quant au devenir de sa maquette lorsqu'il ne sera plus là.

    Comment vit-il s'il ne travaille que peu en dehors de chez lui ?

    Il explique qu'il montre sa maquette aux touristes, français et étrangers, qui montent vers la Cité, et qu'il reçoit de leur part quelques sous qui lui permettent de continuer son projet. Il a tenté également de présenter son oeuvre dans certains établissements scolaires, mais sans grand succès.

    Il sut toucher ses hôtes, et même Joseph Poux qui parle de "folie" en évoquant la passion de l'artisan, n'est pas resté insensible au personnage et à son incroyable maquette...

     

    Louis Lacombe, un carcassonnais "dingue" de la Cité !

    Le château comtal

    Photographie: © Fabienne Calvayrac - 2012

     

    Bref, Louis Lacombe était un vrai passionné qui consacra 40 ans de sa vie à la réalisation de sa maquette. 

    Qu'est devenue son oeuvre ?

    Et bien elle fut classée Monument Historique en 1961, et, exposée dans l'une des salles du château comtal de la Cité, elle fait l'admiration des millions de visiteurs qui se sont succédés depuis des années dans le monument...

    Alors merci à vous monsieur  Lacombe, pour votre passion, et pour la perfection de votre travail qui nous permettent d'admirer aujourd'hui cette très belle réalisation !

     

     

     

     

     

     

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  •  

    Le Grand Puits est l'un des deux puits publics de la Cité. Il est situé tout près du château comtal.

    L'autre, est sur le point culminant du site, le Plô, et est appelé Petit Puits. 

    Les deux illustrations qui suivent montrent Le Grand Puits, tel qu'il était encore au début du XXème siècle, avant d'être restauré.

    D'une profondeur de 39,43 cm pour un diamètre de 3,60 cm au niveau de la margelle (un peu moins au fond du puits), ce puits est bâti en moellons sur une profondeur d'un peu plus de 12 mètres, le reste de l'ouvrage est creusé dans le grès de la colline.

     

    Le Grand Puits de la Cité de Carcassonne

     

    Le Grand Puits de la Cité de Carcassonne

    Dessin Henri Sivade ©

     

    Comme de nombreux puits, le Grand Puits de la Cité de Carcassonne est lié à plusieurs légendes.

    On l'appelle également le Puits aux Fées, car il abriterait des Naïades chargées de garder les grottes et les souterrains qui se trouvent au fond de l'ouvrage...

    Une autre légende raconte que les Goths y auraient caché leur trésor....

    Un troisième récit nous dit que Satan, déguisé en âne, y aurait entraîné 7 archers qu'il garderait depuis prisonniers dans les entrailles du puits....

    Mais, vidé à plusieurs reprises, le puits n'a révélé aucun trésor, aucune grotte, et pas non plus de souterrain, tout au plus quelques pointes de flèches...!

    Même les troupes allemandes, installées dans la Cité de mars à août 1944, effectuèrent des fouilles dans le Grand Puits....En vain...

    Mais pour les citadins du temps jadis, le trésor de ce puits n'était-il pas tout simplement l'eau qu'il leur apportait, leur assurant ainsi l'élément essentiel à la vie ...?

    Ce puits, restauré il y a quelques années grâce aux habitants de la Cité, fera sans doute couler encore beaucoup d'encre...

    A suivre....

     

     

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  • Au XIIIème siècle, l'évêque Guillaume Radulphe (Guilhem Razouls en occitan) fait construire une infirmerie, dotée d'une chapelle, contre l'ancienne cathédrale Saint-Nazaire et Saint-Celse. 

    La chapelle de Radulphe est la première manifestation de l'art gothique à Carcassonne.

     

    La Chapelle de Guilhem Razouls

     

     

    La Chapelle de Guilhem Razouls

     

     

    La Chapelle de Guilhem Razouls

     

    C'est dans là qu'il est enseveli en 1266, dans un sarcophage finement travaillé, situé dans le mur occidental de l'édifice.

     

    La Chapelle de Guilhem Razouls

     

     

    La Chapelle de Guilhem Razouls

     

     

    La Chapelle de Guilhem Razouls

    Photographies: Fabienne Calvayrac  © 2012 - Détails

     

    C'est l'archéologue carcassonnais Jean-Pierre Cros-Mayrevieille qui découvrit ce tombeau en 1839.

    Grâce à cette découverte, il réussit à faire classer l'ancienne cathédrale en 1840, par la Commission des Monuments Historiques. C'est ce classement qui permit les restaurations de l'édifice effectuées par l'architecte Eugène-Viollet-Le-Duc.

    Les travaux prirent fin en 1867.

     

    (Guillaume Radulphe, évêque de Carcassonne de 1255 à 1266)

     

     

     

     

     

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  • Alors qu'en cette année 2014, on commémore le bicentenaire de la naissance de l'architecte Eugène Viollet-Le-Duc, je pense qu'il est important de se souvenir de notre belle Cité, telle qu'elle était au XIXème siècle, avant l'intervention du célèbre architecte.

    La tour de la Justice et la galerie des Inquisiteurs

    Avant les restaurations

     

    La Cité avant les restaurations du XIXème siècle 

    Et après...

    La Cité avant les restaurations du XIXème siècle

     

    Mais n'oublions pas qu'à Carcassonne, il a transformé la Cité en une sorte de ville médiévale modèle, bien lisse et bien propre, à la mode capétienne.

    L'architecte, travaillant pour la Commission des Monuments Historiques, a bien sûr récolté gloire, honneurs et argent.

    Pourtant, si Carcassonne a été sauvée in extremis de la destruction, c'est avant tout grâce à l'archéologue Jean-Pierre Cros-Mayrevieille, un carcassonnais qui s'est battu sa vie durant pour la sauvegarde de ce monument.

      

    La Cité avant les restaurations du XIXème siècle

    Jean-Pierre Cros-Mayrevielle 1810 - 1876

     

    Alors qu'au début des restaurations leurs relations semblaient plutôt amicales et empreintes de respect, Viollet-Le-Duc a finalement tourné le dos à l'archéologue.

    Préférant sans doute ignorer la sagesse et le respect de Cros-Mayrevielle pour le monument, pour son architecture et son Histoire, Viollet-Le-Duc a donné à la Cité la physionomie "château de la Loire" qu'on lui connaît aujourd'hui.

    Pourtant, dans son rapport du 6 janvier 1849, à l'attention de la Commission des Monuments Historiques, Viollet-Le-Duc écrit, concernant la Porte Narbonnaise:

    " Quelques tuiles colorées que j'ai retrouvées dans les décombres m'ont fourni les éléments de la couverture de ce beau monument"...

    Par ailleurs, un inventaire concernant la Cité et daté de 1298, mentionne un couteau à travailler la tuile....

    Ce n'est pas tout. En 1563, un millier de tuiles avait été expédié de Conques-sur-Orbiel (à 8km au nord de Carcassonne) à la Cité pour couvrir les "tours et guetz", tant de la haute que de la basse muraille.

    Bien sûr, rien ne nous prouve aujourd'hui que toutes les tours de la Cité étaient couvertes de tuiles, mais il est certain que toutes n'étaient pas couvertes d'ardoises...

    Le choix de Viollet-Le-Duc de couvrir les tours d'ardoises, est donc, on le sait, tout à fait contestable...

    C'est également au cours de ces restaurations que l'on assiste au changement de nom de plusieurs tours...

    Ainsi, la Tour de l'Inquisition est devenue la Tour de la Justice et la Tour Ronde de l'Evêque est maintenant la Tour de l'Inquisition...Comme elle présente, dans son niveau le plus bas, un pilier auquel est accrochée une épaisse chaîne, c'est tout d'un coup nettement plus pratique et plus parlant pour vendre aux touristes le martyre des cathares...

    La Tour de la Grangie, ayant elle aussi changé de nom est maintenant pratiquement impossible à situer...

    La Tour de la Connétablie est devenue la Tour du Moulin du Connétable...

    La Tour de Vieusac ou Vieuzac qui devait son nom à Antoine Vieuzac, bourgeois et procureur à la Cour du Sénéchal (1665) est aujourd'hui la Tour du Vieulas....

    Etc....

    Malgré la beauté du site, on ne peut que déplorer la manière dont on révise régulièrement son Histoire, et dont on gomme, doucement mais sûrement l'identité occitane...

    Il convient donc d'être prudent et de ne pas se laisser berner par la récupération commerciale ou ésotérique de ce monument dont certains ont fait leur métier ....

     

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  • Découverte en 1926, dans le donjon nord du château comtal, cette peinture murale qui représente un combat entre Francs et Sarrasins, ornait une pièce appelée Chambre Ronde, nom certainement dû à sa voûte en plein cintre.

    Cette peinture, grandement restaurée au cours des années 50, et également il y a quelques années, est un sujet d'étude auquel plusieurs historiens s'attellent.

    Cependant les restaurations effectuées ne permettent pas à ce jour de définir avec une réelle exactitude historique à quels hauts faits d'armes elle fait référence. Elle aurait été réalisée à la fin du XIIème siècle.

     

    La peinture murale du château comtal de Carcassonne

     Photographie Fabienne Calvayrac - 6 janv. 2013

    C'est au toulousain Pierre Embry, que l'on doit cette jolie découverte, ainsi que la création du musée archéologique du château comtal, (l'actuel musée lapidaire) où sont exposées de nombreuses pièces trouvées à Carcassonne et dans l'Aude.

     

    La peinture murale du château comtal de Carcassonne

     

    Pierre Embry, Toulouse,

    5 décembre 1886 - Carcassonne 15 juin 1959

     

    Nommé conservateur des Antiquités et Objets d'Art de l'Aude en 1928, Pierre Embry était aussi un conférencier passionné de la Cité.

    C'est à lui que l'on doit l'inventaire complet et détaillé du mobilier archéologique trouvé sur le site et que l'on peut consulter aux Archives Départementales de l'Aude.

    Il semble malheureusement qu'une partie importante des pièces répertoriées par Pierre Embry soit impossible à localiser avec précision aujourd'hui.

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  • La Cité de Carcassonne sur Google

      

    Google rend un bel hommage à La Cité de Carcassonne, à l'occasion du bicentenaire de la naissance de l'architecte Eugène Viollet-Le-Duc qui restaura ce monument au XIXème siècle.

     

    La Cité de Carcassonne sur Google

    Eugène Viollet-Le-Duc,

    27 janvier 1814 - 17 septembre 1879

     

    Ce dessin, inspiré des aquarelles de l'architecte, représente le château comtal de la Cité, sur le front ouest.

     

    La Cité de Carcassonne sur Google

     

     

     

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  • Cité de Carcassonne, front Nord

     

     

    Enceinte intérieure de la Cité de Carcassonne,

     fin IIIème-début IVème siècle

    Au premier plan, la Tour de la Marquière

    La seconde tour est dite Tour de Samson,

    et la troisième, Tour du Moulin d'Avar.

    Entre la Tour de la Marquière et la Tour de Samson,

    la Porte de Rodez, remaniée à la période médiévale.

     

    Mosaïque du Château Comtal

     

    La mosaïque du Château Comtal

    Fin du 1er siècle avant J.C

    Actuellement à l'abandon...

     

    La mosaïque du château et les fondations de la chapelle

     

    Les vestiges de la chapelle castrale, chapelle romane dédiée à Sainte-Marie,

    construite sur les vestiges de la domus du 1er siècle avant J.C

     

    Carcassonne, la Romaine

     

    Les fouilles de cette chapelle, effectuées en 1986,

    ont mis à jour plusieurs sépultures d'enfants et une sépulture d'adulte.

     

    Photographies © Fabienne Calvayrac 2013

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